L'origine du mot "miam" vient de m'être révélée. il semblerait que ce mot remonte à 1931 lors de la 1ère dégustation de ... Babybel. Ancré dans sa mémoire génétique, ce goût vient de provoquer chez ma fille son premier son de plaisir gustatif en mangeant ce petit fromage rond à pâte molle.
Devenons en déduire que l'inné passe par l'acquis des générations précédentes et que nous avons un gêne des plaisirs gustatifs? Il semblerait que oui aux vues des recherches plus avancées auxquelles je viens de procéder à l'aide d'une crême chocolat au lait infantil.
Expérience Zéro, sujet humain:
A la dégustation de son premier dessert chocolaté le sujet Emilie Crevette a eu sa 1ère réaction hystérique au sens propre comme au figuré. Le mot hystérie étant tiré du mot grec "utérus" il serait, pour certains (parmi Freud), intimement lié aux femmes. Ayant vu ce bébé de 8 mois se transformer en furie à chaque nanoseconde dépourvue d'une cuillère enfournée dans sa bouche le sujet E devenait incontrolable. Je cherche encore mes mots pour décrire l'horreur que j'ai vécue quand le sujet s'est rendu compte que la fin de son délice était arrivé. Seul un Danonino goût cerise eu l'effet sédatif recherché, la compote de pomme maison ayant lamentablement échouée.
Me basant sur cette expérience innébranlable je peux ainsi affirmer que la gourmandise et l'addiction au chocolat est codée dans l'ADN est qu'il se transmet de mère en fille via le gène inductible qui s'exprime uniquement chez un sujet femelle de type hystérique.
In Cioccolatum Veritas
Et sinon? Et sinon je bosse sur le mur de sa chambre, résultat la semaine prochaine girls :)
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